Skip to content

Résidences sous Le Poulpe

Espace de liberté pour territoire singulier

Résidence – Création – Diffusion d’œuvres – Médiation

Dans le cadre des résidence autour le l'art clownesque, du burlesque et du cirque, Gorgomar a accueillit du 22 au 27 janvier sous son chapiteau le Poulpe la compagnie « Les 2 de la spontanée ».

Champion et Ultrason sont des clowns à part. Roadies du groupe de rock Les Fergessen, ils sont persuadés qu’ils vont faire leur première partie de concert. Le matériel installé, les balances faites, les costumes repassés, nos deux audacieux usurpateurs avancent sur la corde raide du rock… A la clef, une tournée internationale ! Avec la présence de Henzi Lorenzen

Quelques images de la sortie de résidence en public…

 

L'accueil de compagnies en résidence

Le Poulpe devient un espace de répétition et de création, une proposition nouvelle au sein du 109. Sa forme circulaire et la proximité du public en gradin offrent un supplément au travail clownesque. Son aménagement est modulable, une jolie piste en bois avec ou sans gradin, il permet à l’artiste de bénéficier d’un espace intime et cosy et de mieux se projeter dans sa création. L’espace intérieur du chapiteau Le Poulpe est adapté pour de petites formes, solo, duo, et permet de créer dans des conditions techniques professionnelles avec son parc lumière et son. 

Lorsqu’une compagnie vient en résidence, elle ne trouve pas seulement une salle de travail entièrement équipée, elle profite également d’interlocuteurs professionnels prêts à partager leurs compétences, d’un public local avec lequel elle pourra échanger, tester, confronter et présenter son travail. Le clown tient compte de son auditoire et de ses réactions ; avoir des rendez-vous avec le public tout au long de sa création, permet de maintenir une connexion constante. De prendre en permanence la température de ce public avec lequel il joue.

Le Poulpe implique le public local, stimule la diversité, soutient la création et l’expérimentation artistique, aide à la production d’œuvres.

Les résidences d’artistes offrent l’opportunité de mettre en commun les savoir-faire et les expériences dans une ambiance de création collective. Pour le public, elles sont la chance de pouvoir rencontrer les artistes, embrasser leur démarche et se sensibiliser à la culture. Dans un monde du spectacle aux conditions complexes, Le Poulpe est une alternative heureuse. 

Voilà un lieu de résidence accessible pouvant accueillir les projets de différents artistes, d’autres compagnies, un espace de travail favorisant la création artistique et l’échange.

Le Poulpe est un laboratoire propice à la recherche et au développement des idées en s’appropriant chaque territoire.

Le Poulpe est une véritable salle de spectacle. L’espace scénique est entièrement modulable. Le chapiteau est équipé d'un beau plancher de bois qui occupe tout l'espace, ce qui lui confère une ambiance chaleureuse et accueillante.

  • Chapiteau rond compose de 6 côtés
  • Dimensions = diamètre 7,60 mètres, hauteur 5 mètres
  • Toit rond avec coupole
  • Capacité d’accueil : 70 places
  • Accessible aux personnes à mobilité réduite

Offrir un espace dédié à ces pratiques artistiques nous semble important pour continuer à s’interroger, échanger, se confronter à d’autres créateurs qui utilisent les vecteurs du clown ou de la marionnette. Servir de relais pour découvrir, pratiquer et se former, telle est la volonté de ce projet d’implantation.

Vous souhaitez venir en résidence sous Le Poulpe ?

Contactez-nous !

En 2022 sous Le Poulpe

Pilotée par Michelle Cajolet-Couture, La Rocket (comme la fusée pas comme la salade) est une compagnie de spectacles pluridisciplinaires destinés à réveiller les morts-vivants. Une association de loi 1901 basée en plein cœur du réacteur de Marseille.

Laboratoire de recherche croisée Art vivant / Art plastique

Proposé par TCMA – Michaël Allibert // Jérôme Grivel // Collectif Multiprise – Nice

La résidence est envisagée comme un laboratoire de recherche et un espace de rencontre entre deux artistes et entre deux domaines (l’art plastique et l’art vivant) qui entretiennent depuis toujours un dialogue formel et conceptuel. Ces quinze jours sont destinés à la recherche, à la réflexion et ne contient aucune obligation de production en fin de résidence.

C’est un temps de travail un peu hors norme, hors temps pour permettre à deux artistes de confronter leur pratique, leur univers et d’échanger autour de ce qui peut leur être commun sans la pression de devoir « montrer » quelque chose. Représenter, même une sortie de résidence, oriente vers une nécessité de construire et fausse d'entrée de jeu la recherche elle-même qui ne doit pas se poser la question de sa représentation pour laisser le champ d'exploration complètement libre.